Dans le Devoir de samedi, un article sur le cinéaste Bernard Émond: "J'entre à Sainte-Anne-de-Beaupré et je me dis ce sont les rituels de ma tribu. C'est chez nous. C'est comme si, à près de 50 ans, je redécouvrais un côté caché de ma vie."
"Ce que je pense de la politique, des injustices sociales, mon rapport à la misère du monde, ça me vient certainement d'une éducation catholique où l'amour du prochain était plus important que la peur du péché."
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