Dans le numéro du printemps de la revue américaine Aperture
Un reportage sur la diaspora Irakienne
de Paolo Pellegrin
ces images
ne signifient plus grand chose
comme immunisé contre
la douleur des autres
Comme si nous étions
derrière une vitre
perpétuelle.
Ça recoupe la thèse où la photographie
est soit une fenêtre ou un miroir
Une fenêtre sur le monde ou
un miroir de ce que nous sommes.
Mais je pense aussi à la notion de distance
entre le sujet et la personne photographiant.
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