Février n'est plus

Ajouter un peu de couleur. Pour le texte, alors je suis "off" car j'ai écrit le texte hier en croyant la météo, mais on peut toujours garder l'image pour un samedi gris malgré un samedi bleu comme aujourd'hui.

Par hasard, sur blogger, j'ai trouvé ce blog en japonais et je me demandais de quoi il pouvait bien parler. En regardant les images, il est difficile de décoder les trucs, un bureau qui déborde, un cellulaire, une calculatrice, de la nourriture...et en traduisant le texte d'une journée, voici le résultat:

"Il est tôt, la haute école de trois ans, un long temps pour moi
Impatience vraiment rien que je pourrais dire que tout
Oui quoi? La situation des ménages va empirer si elle
Ainsi, il est difficile de ne pas seulement se débrouiller de façon régulière.
Depuis ma fille a commencé à byte挂KE持CHI d'une récente soirée au restaurant
Comme je vis seul MAKANAI la nourriture, l'heure des repas
Maintenant beaucoup plus facile. A côté de bonnes choses de la portée des enfants
Nous allons y réfléchir.见MASEN ou fille d'aller au magasin, cette fois?"

Plutôt difficile à décoder mais on dit que le Japon est difficile à décoder pour un occidental.

Retravailler

C'est ma semaine à revisiter des photos.

Retour sur Percé

J'aime beaucoup cette photo de mon court séjour à Percé.

En y ajoutant cette courte phrase, j'ai l'impression de mieux expliquer le pourquoi du comment.

Re-travailler une image

Peut-être vais-je arriver à quelque chose avec cette image qui en devient une nouvelle à chaque fois.

Un lien sur un article qui touche à l'économie et la photographie, cliquez sur le titre. Annie Leibovitz qui a emprunté près de 15 millions en offrant en garantie tous ces biens mais surtout les droits sur tout ce qu'elle a produit et ce qu'elle va produire dans l'avenir.
Il y a un peu de Faust dans tout ça.

Presqu'un mois plus tard

Re-visiter une image du mois dernier en y ajoutant un petit quelque chose. Je lisais un article sur Pascal Dangin qui retouche les photos pour les plus grands magazines.

Comme quoi la réalité n'est pas vraiment la réalité, une recette, un petit de ceci et une touche de cela vous donne un quelque chose de différent.

Le portrait de Dorian Gray d'Oscar Wilde me vient à l'esprit.

Progression

En attendant les Oscars, je regardais sur Artv un film très intéressant sur le peintre Edmund Alleyn: L'atelier de mon père, réalisé par sa fille. Sur son site (cliquez le titre), on voit son parcours et sa progression (j'aime bien sa dernière série ainsi que celle des années 68-70).

Oscar

Ce soir les Oscars, sur qui la lumière brillera, on a déjà une petite idée.

Sur ce sujet, suivez le lien pour un très bon reportage du NY Times (cliquez sur le titre) réalisé par le photographe Paolo Pelligrin. J'aime cette idée de regrouper la photo, le commentaire écrit et oral.

Jerry Lewis doit recevoir un Oscar pour sa carrière. Jerry Lewis me fait penser aux films du canal 10 ainsi qu'aux films qui étaient présentés dans le sous-sol de l'église les samedis après-midi.
Ça semble une éternité tout ça; le canal 10, les sous-sols d'églises.

Re-prise

Une reprise d'une photo (14 mars 2008) que j'ai fait agrandir d'un fichier plutôt que du négatif, allez savoir?

Bref, je n'aimais pas les tonalités de l'agrandissement alors j'ai re-couper, re-coller. Un exercice de sauvetage mais il y manque quelque chose, peut-être un fond intéressant pour y ajouter quelque chose, peut-être aussi, mettre de côté et passer à un autre appel.

Mais il y a ce côté flou que je trouve intéressant...pour le moment.

Josée Pellerin à la galerie Orange

Vu l'exposition de Josée Pellerin à la galerie Orange
http://www.galerieorange.com/mtl/Expositionn.asp?ref=EXPO71
J'aime beaucoup son travail qui est proche de la littérature et qui juxtapose les images. J'ai l'impression que le texte ajouté est comme l'indice, la piste de lecture pour celui qui regarde la photo.
M'offrant plus de possibilités d'interpréter, de décoder ou même de créer une nouvelle histoire.

Contrairement à sa série de 2005, le texte prend une place plus importante au niveau graphique, au lieu d'être en forme de légende, il parcourt l'espace, brisé, coupé, multiplié comme si le texte voulait prendre le dessus ou du moins imposer sa présence.

Neige de février

Neige lourde et collante, une neige un peu printanière.

J'ai ajouté un lien vers le travail d'Antony, le chanteur transgenre mais aussi transgénique dans le sens de transformation, je pense à ses reprises de chansons et de ses collaborations: Lou Reed, Bob Dylan, Leonard Cohen.

Dans le travail exposé (cliquez sur le lien), on voit une photo ayant pour titre Ghost et cette photo a quelque chose qui me fait penser à Michael Jackson (qui d'ailleurs prépare une vente aux enchères, on peut consulter les catalogues: http://www.juliensauctions.com). Il semble avoir quelque chose de brisé dans son travail, brisé, recollé, déchiré mais tout de même intéressant.

Le lien avec la photo? Peut-être la notion de cage vitrée dans laquelle ces artistes vivent. Bon jeudi.

Sur place

J'en avais déjà parlé mais voici le montage sur place au Havre aux Glaces au Marché Jean-Talon.

Suite de Percé Bis Bis

Quelque peu tristounet comme photos de Percé mais de voir les maisons avec les volets fermés, les commerces en attente de touristes et particulièrement de visiter une église qui n'est pas chauffée vous laisse songeur quant à notre relation à l'hiver.

Ce n'est pas seulement Percé, tous les petits villages qui longent le fleuve semblent dans un état d'hibernation, une attente du printemps. Toutes les haltes routières sont fermées, au moins si on pouvait les déneiger, on pourrait admirer le point de vue. Le point de vue est aussi beau l'hiver que lors des autres saisons.

Un peu comme si on refusait l'hiver ou se résignait à sa présence.

L'hiver est un peu comme le silence, c'est toujours difficile de s'y habituer.

Suite de Percé Bis

Suite de Percé

Merci à Rodrigue, Daniel et Francis. Merci pour la kiaude et le craaaawbe (faire attention à la prononciation). Je vais avoir d'autres photos demain et je dois écrire mon texte, décrire mes impressions.

Un traitement différent pour certaines photos, une recherche du bon format aussi. Un court séjour n'est pas assez. Il faut prendre le temps pour repérer le lieu. Bref, c'est toujours un peu le cas de devoir regarder, évaluer, saisir une image.

En se rendant, on croise un parc d'éoliennes. Un petit côté extraterrestre à ces structures imposantes.

Bonaventure ou Rod effacé

L'Ïle de Bonaventure est inaccessible l'hiver. Ça n'empêche pas qu'elle ressemble à une baleine.

Percé en N&B

La lumière n'était pas au rendez-vous cette journée-là, mais ça rend un peu la tristesse d'un village en hibernation.

Retour par Rimouski

J'avais oublié que les pantoufles en phentex étaient toujours de ce monde. J'ai loué une chambre dans une petite auberge et à défaut d'offrir une robe de chambre, on offre une paire de pantoufles.

Je crois cependant qu'elles doivent rester dans la chambre car elles ont déjà servies à en juger par la couleur de la semelle.

Je devrais avoir mes photos de Percé la semaine prochaine. J'ai vu un levé de lune, vraiment extraordinaire: ça compense pour les pantoufles.

J'ai ajouté un lien pour vous faire vos propres pantoufles.

Du calme

Dans ma chambre, il y avait plein de petits messages; un pour l'accès Internet, un autre pour acheter de la Labatt Bleue à $3.50 de l'eau à $2.99 et autres messages.
Intéressant aussi que le prix de la bière est à peu près le même que celui de l'eau en bouteille.

Celui de la chambre de bain est drôlement écrit ou plutôt mal traduit: Du calme (pour traduire Relax), mais ça ne sonne pas "calme", ça sonne "calme" dans le sens d'un rappel à l'ordre.
Mais comme j'avais ma brosse à dent, alors j'ai pu rester calme.

Rimouski

De Montréal, si on coupe le trajet en deux, Rimouski est à mi-chemin avec Percé.

Poudrerie et plus froid. Un arrêt pour voir un ami à Saint-André de Kamouraska.

Curieusement, les bureaux d'information touristique sont fermés pour la saison. Comme-ci le Québec fermait pendant l'hiver pourtant, le Québec est le Québec en grande partie grâce à son hiver.

Gaspésie

Je vais faire des photos d'hiver de Percé et de la Gaspésie. Suivre le fleuve, m'approcher de la mer.

Faire le plein visuel, un Cuba inversé, du sable en forme de neige.

À ma première visite, je me souviens du choc de découvrir le Rocher en entrant à Percé, comme l'eau qui gicle sur le pare-brise, vous surprenant par l'intensité.

Tour d'eau

Au 19e siècle, tous les édifices à NY de plus de 6 étages devaient avoir une tour d'eau. Intéressant à photographier également.

Ce n'est pas un ciel d'hiver mais comme on annonce un temps plus chaud pour le week-end.

Prendre un café

Je compte aller faire de la photo d'hiver en Gaspésie. J'ai appelé un ami qui habite là-bas et je lui disais qu'à mon arrivée je pourrais me rendre dans un café et lui téléphoner pour qu'on puisse se voir.
Il m'a répondu que ça serait peut-être un peu compliqué car il n'y a pas grand chose d'ouvert en cette période de l'année: donc le temps idéal pour faire de la photo.

10 000 heures

Dans une entrevue avec l'écrivain Malcolm Gladwell (The Tipping Point, Blink), il parle d'une théorie qui définit l'expertise dans n'importe quel domaine vient après 10 000 heures d'apprentissage ou de travail. Faites le calcul, à temps plein, c'est à peu près cinq ans.

Mardi 3

C'était ma journée Cartier-Bresson hier, je terminais la lecture d'un livre relatant la couverture du journal Le Monde sur son travail pendant plus de 50 ans (l'avantage de durer dans le temps), les articles les plus intéressants étant ceux rédigés par Hervé Guibert.

Pour la première fois, on traite aussi de son travail de dessinateur et du malaise qu'avait les journalistes de faire une critique de ses dessins: "Ses dessins ne sont pas à la hauteur des ses photos...Mais ce n'est pas facile à dire et encore moins à écrire." Du livre de Michel Guerrin: Henri Cartier-Bresson et Le Monde.

Et sur YouTube, d'excellents documentaires sur son travail et des entrevues avec lui, sur sa technique, son travail. Est-ce qu'on pourrait dire que son travail de dessinateur portait ombrage à son oeuvre photographique?

Termine le chalet débute février

Suite de la série Chalet à louer.

La marmotte a vu son ombre, il reste 6 semaines d'hiver. De toute façon, à la mi-mars, l'hiver tire sur la fin.

Je pense préférer les photos de samedi à celles d'aujourd'hui. La première idée est souvent la meilleure.