En regardant toutes ces fenêtres, je vois toutes les petites histoires qui peuvent en découler. Un peu comme le film
Rear Window (encore Hitchcock, Octobre doit être mon mois Hitchcockien) où un photographe avec une jambe dans le plâtre imagine avoir vu un meurtre commis dans un appartement face au sien.
Ça pourrait être un projet intéressant à développer, une histoire par pièce, des histoires qui se croisent. Nous ne sommes pas très loin du concept des six degrés de séparation, on peut donc imaginer que tous les occupants de ces chambres sont de près ou de loin liés entre eux.
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