Le 22 novembre dernier, je présentais une photo d’une tasse se retrouvant sur la table d’une artiste peintre. Alors, dans un même ordre d’idée, en voici une avec pots et pinceaux.
J’avais utilisé un film pour diapositives qui a beaucoup de grain, l’Ektachrome 160 T. Kodak écrit que le grain est fin mais une fois digitalisée, c’est une autre histoire.
J’aime bien le grain mais l’éditeur du magazine lui, n’aimait pas le grain, dommage.
Le film pour diapositives est aussi en voie de disparition, qui maintenant veut passer une soirée à regarder des diapositives.
Plus jeune, je me souviens que mon père profitait de chaque occasion pour montrer ses « slides » de France. C’était devenu avec le temps, le running gag qui alimentait les rencontres de famille.
Une des dernières fois que nous avions discuté photo, je lui avais montré un carousel de diapos prises pendant un voyage estival, il en avait profité (sans nécessairement que je lui demande) pour critiquer les photos et je dois admettre que ces commentaires sur la composition et la lumière étaient justes.
Une diapo ne pardonne pas, elle est bonne ou nulle, pas de demi-mesure.
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